Autour de Fumay

Tu sais que j’aime te dire où je suis et situer l’endroit. Alors, aujourd’hui, nous avons passé la nuit sur l’aire de camping car park de Fumay. J’en avais déjà entendu parlé et on voulait y aller sans savoir exactement ce qu’on allait trouver autours.

Nous enfourchons nos bécanes et longeons la Meuse avec un pique-nique en prévision de trouver un chouette endroit pour se poser à midi.

Au loin, nous apercevons des sortes de parachutes. Ah bien non, ce sont des parapentes. Nous nous rapprochons et nous voyons ces parapentes se poser les uns après les autres. Le plus comique, c’est qu’ils en posent beaucoup mais qu’il y en a toujours autant dans les airs. Cela n’arrête pas.

D’après ce que j’ai pu entendre, le club serait : pointe ardennes parapente. Alors, si tu habites pas très loin et si tu as envie de te laisser porter par le bruit du vent et de beaux paysages. Le lien rouge te donne l’itinéraire pour y aller quelque soit l’endroit où tu te trouves.

Nous avons dans un premier temps observé et parlé avec ceux qui venaient d’atterir et après nous sommes aller nous poser sur un banc plus loin.

Nous avons d’abord observé et parlé avec ceux qui venaient d’atterrir, puis nous sommes allés nous poser sur un banc plus loin.

De là, nous savions les observer tout en mangeant notre pique nique. Lorsqu’on a eu fini notre encas, nous voilà reparti pour continuer le long de la Meuse.

Bon, alors, mieux vaut tard que jamais comme on dit. Au final, je vous ai dit que j’étais à Fumay mais pas encore que la ville se situe dans le département des Ardennes dans la région du grand Est et en France.

En continuant, nous avons aperçu de jolies montures dans une pature plus loin. Ensuite, nous sommes passés à côté de l‘Ecluse n°52. Elle est quand même impressionnante quand il y a un sacré débit. Lors de notre passage, c’était vraiment un bouillon toute cette eau qui est lachée.

A ce moment là, un cable passe au dessus de nos tête et lorsqu’on était près des parapente on avait entendu des gens crier. A partir de là, nous doutons sur le faite qu’on sache aller jusqu’au début du cable parce qu’on s’aperçoit qu’il est de l’autre coté de la berge et sur une hauteur. L’obsession du moment, trouver un pont ou une parserelle. Quelque chose pour passer de l’autre coté de la Meuse.

Nous continuons à avancer et au loin, on voit un genre de rampe qui monte vers une paserelle. C’est peut etre par là qu’on doit aller ? On monte cette rampe en question et traversons ‘le pont’.

De l’autre coté, une grande découverte.

C’est une ancienne carrière d’ardoise. Devrais-je dire, une ancienne mine d’ardoise ? Je ne sais pas, mais en tout les cas, partout où on regarde il y en a. Incroyable !!

La porte de la mine est à ma droite, il y a un genre de barque à ma gauche.

Toutes les questions fusent dans mon esprit, c’est quoi ? A quoi ça sert ? Etais-ce les mollettes ? Appelle-t-on cela des molettes comme dans une mine ? Enfin, vous voyez le genre de move qu’il y avait dans ma tête. A savoir que je suis très curieuse.

Et bien, pour répondre à mes questions, j’ai quand même du vraiment bien chercher. Je ne savais ni le nom de l’ardoisière, ni l’époque. Ce qui rendait le travaille de recherche encore plus difficile. Mais j’ai enfin trouvé.

Vous voulez les explications ? les voilà ci dessous 👇

Son apellelation est : Ardoisière Saint-Joseph ; parc de loisirs Terr’altitudes Aventure Parc (mais sans son nom d’origine, je n’aurais jamais trouvé)

Genre d’édifice : socièté extractrice industrielle

On compte dix sept fosses ardoisières sur le territoire de Fumay au 18e siècle, dont celle de Saint-Joseph, qui produit essentiellement une ardoise violette tirant sur le bleu. Elle dispose au début du 20e siècle d’une centrale hydroélectrique et échappe aux destructions de la Première Guerre mondiale, à l’exception du pont la reliant à Fumay. Son exploitation redémarre en 1919, et la reconstruction du pont s’effectue en 1922. Sous la direction de Louis E. Jacquet l’ardoisière Saint-Joseph intègre l’Union Ardoisière de Fumay en 1930. En 1939, il ne reste dans le bassin de Fumay-Haybes que trois ardoisières : Belle-Rose, la Renaissance et Saint-Joseph. Elles emploient 292 ardoisiers et fournissent annuellement 13 000 tonnes de produits marchands. Malgré la reconstruction la production baisse sensiblement après la Seconde Guerre mondiale. En 1965, la Société des Ardoisières de Rimogne rachète les installations. La totalité des ardoisières ferme en 1971, Saint-Joseph sera la dernière. Après démontage et comblement des fosses, le foncier est racheté ; le site est actuellement converti en parc de loisirs par la commune.

Les bâtiments subsistants (bureaux, descenderie) ont été partiellement reconstruits à l’identique. Les sept ateliers de production dits hayons (fendage, quernage, ébauchage, etc.) ont été démontés en 1971, ils sont actuellement en ruine. La salle des machines est encore visible mais a perdu sa toiture. L’ensemble des constructions est en brique ou moellon de schiste. La carrière affleure sur toute la parcelle, les déchets ardoisiers ou verdoux s’élèvent entre les arbres et les aménagements de l’actuel parc de loisirs.

Observations concernant la protection de l’édifice

L’industrie ardoisière fut prospère à Fumay jusqu’à la crise de 1930 et employa plus de 1400 ouvriers. £En 1959, les seules ardoisières subsistantes à Fumay sont celle de La Renaissance et St Joseph ; elle emploie 200 personnes… Fumay a beau s’offrir toutes les teintes : violettes-rouges, violettes-bleues, vertes, violettes veinées de vert, roses jadis ; toutes ardoises exemptes de pyrites, son industrie est gênée en fait par la concurrence de la tuile mécanique, du cuivre et du zinc. Toutefois, elle conserve sa clientèle dans le nord et le nord est, en Belgique, en Hollande, en Suisse. Elle vante, à juste titre, la longue durée et le cachet de la couverture en ardoise. Son meilleur client fut jadis l’Angleterre.

(source : https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/IA08000410)

Tout ce qui est en italique est ce que j’ai trouvé sur l’histoire, qui maintenant je le sais, vient de l’ardoisière Saint-Joseph.

Une fois ce lieu exploré vaguement, nous continuons sur notre lancée.

Il ne faut pas oublier que notre but est de savoir ce qu’est le fameux cable qui passait au-dessus de notre tête.

Nous avancons un peu plus loin.

Sur un plaque on voit que le fameux cable qu’ils appellent fantasticable est à 2.5 Km d’où on se trouve.

Nous arrivons à l’endroit où arrive se cable, et autour de nous se trouve pleins d’activitées pour petits et grands.

Le parc d’aventures porte bien son nom, il regorge d’activités, qui passe par les structures gonflables, le paintball en passant par l’accrobranche en continuant vers le fantasticable, la catapulte.

Il y a plusieurs pack pour les tarifs ou des tarifs individuels

De là, vous pourrez voir dans la vidéo l’effet du fantasticable sur les plus jeunes.

Vous avez compris qu’on arrive à la fin de mon article et je vous remercie de la lecture et vous dis à bientôt pour d’autres aventures

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